mercredi 17 octobre 2018


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INTRODUCTION

L’histoire du développement du marché mondial, est l’histoire de l’articulation dialectique entre périodisation du capitalisme et procès d’accumulation du capital. L’une ne peut être comprise sans l’autre.
Dans ce procès d’accumulation du capital et du développement du capitalisme, le commerce international avait largement contribué :

1) Au développement et à l’expansion de l’industrie, grâce notamment à l’exportation des produits manufacturés en raison de l’étroitesse du marché intérieur, permettant de réaliser des profits supplémentaires ;
2) à l’importation des éléments du capital constant à bas prix permettant de déprécier le capital etc., et surtout grâce à l’importation des matières alimentaires servant à la diminution du coût de la reproduction de la force de travail à la métropole, et au maintien des bas salaires.
Bref, grâce à l’importation à très bas prix de toutes les matières servant à la dépréciation du capital en général (constant et variable) ;
3) à créer les conditions favorables à l’allongement de la durée et à l’accroissement de l’intensification de travail , faisant de la plus-value absolue la forme dominante de l’extorsion du surtravail y compris dans la métropole ( dans la transition du capitalisme marchand au capitalisme industriel) ;

L’articulation de l’ensemble de ces éléments et de ces conditions favorables au développement du capitalisme industriel au profit de la bourgeoisie industrielle montante, avait pour but l’augmentation du profit, et la mise en place des conditions de production pour l’élévation de la plus-value.
C’est la tendance qui fonde même la « logique » de la Division Internationale de Travail tracée par D. Ricardo sous l’hégémonie de l’Etat- Nation britannique aux stades du capitalisme concurrentiel et du capitalisme bancaire marquant le développement du « capitalisme industriel» ( fin du 18ème siècle – début du 20ème siècle)

I- La théorie classique du commerce international :

 la théorisation et la légitimation de la domination économique aux stades du capitalisme concurrentiel et du capitalisme industriel (suivie du commentaire et de l’interprétation marxistes) 
Après Adam Smith qui soutenait que la spécialisation doit s’opérer dans la production, dont les couts absolus sont plus bas qu’à l’étranger:(« La maxime de tout chef de la famille et de ne jamais essayer de faire chez soi la chose qui coutera moins à acheter qu’à faire » écrit-il), étendant ainsi les lois de la microéconomie à l’économie d’une Nation (« loi de l’avantage absolu »), D. Ricardo défenseur de la bourgeoisie industrielle contre les propriétaires fonciers (défendus par Malthus), et partisan du libre échange « universel », fonde la loi de l’avantage relatif.
En effet, Ricardo développe sa théorie de l’échange international à l’époque où l’Angleterre connaissait un essor et un développement sans précédent de son commerce et de son industrie.
S’il va plus loin que Smith, Ricardo ne remet pas en cause la loi dite des débouchés de J.B. Say  qui ne croyait pas à la possibilité d’une crise de surproduction (chaque produit crée peut s’échanger contre un autre produit).
En considérant l’épargne (épargne supposant un taux de profit suffisant) comme base de la croissance, il fonde sa théorie, sur ce qu’il considère le moteur, et en même temps l’objectif : le taux de profit.
« L’intérêt général n’est si bien assuré que par la distribution la plus productive du capital général, c'est-à-dire par un commerce universellement libre. De même qu’il serait désavantageux pour un consommateur d’être restreint à acheter que dans une seule boutique, de même qu’il est nuisible pour une nation de consommateurs d’être forcé de n’acheter que dans un seul pays. »
Si Ricardo voit dans l’échange international un moyen d’accroitre le taux de profit, il prend en même temps position contre la limitation de l’échange entre la colonie et la métropole.
Cette limitation va selon lui à l’encontre de l’intérêt général qu’il trouve dans le libre-échangisme universel. Dans la même optique il condamne le commerce de monopole.
Sur cette base, la théorie de l’échange international de Ricardo comporte deux principes : le principe de la spécialisation et le principe de la domination.

1°) – Les principes de la théorie ricardienne du commerce
international

a-La spécialisation

En prenant l’exemple des deux biens (exemple que nous n’allons pas développer en détail, mais dont on précise la signification) du vin et du drap, fabriqué respectivement par le Portugal et l’Angleterre ; et en raisonnant en termes de quantité de travail pour chaque unité du drap et du vin, il croit au gain des deux nations dans l’échange. Ce gain se réalise grâce à la réallocation du facteur travail et à la spécialisation. Celle-ci permet d’augmenter la production de biens produits, de baisser les couts, et de perfectionner la structure de la production nationale, aboutissant à l’amélioration du bien être des peuples des deux pays par l’échange international.
Dans cet exemple, l’Angleterre a pour le vin et le drap successivement un cout unitaire (en terme de quantité de travail) de 120 et 100 ; le Portugal, dans les mêmes conditions, pour le vin et le drap 80 et 90.
Ricardo pense que le premier pays doit se spécialiser dans la production du drap et le deuxième pays dans la production du vin.
Ainsi, le Portugal a un avantage comparé à produire du vin car, il produit chaque unité de ce produit avec 80/120 x 100 = 67% de l’effort de l’Angleterre, alors qu’il prend 90/100 x 100 =90% de l’effort de l‘Angleterre à produire une unité de drap. La même logique est valable pour l’Angleterre.
Il faut signaler, que l’échange n’est économiquement possible entre les deux pays, que sur la base d’un taux d’échange international situé entre les deux taux d’échange intérieurs (entre 80/90 et 120/100.)

b La domination :

La citation suivante permet de résumer cette conception de la domination qui se dissimule derrière l’apparence des pays riches sur les pays pauvres producteurs de matières agricoles ;
nous citons Ricardo :
« C’est seulement lorsqu’un pays est relativement riche, lorsque ses terres les plus fertiles déjà sollicitées par la culture la plus habile. Il se trouve conduit à exploiter les terrains inférieurs pour puiser sa nourriture lorsqu’enfin il se trouve privé, dès l’origine de tout, d’un sol fécond, c’est seulement alors que les importations du blé deviennent favorables. »
C’est un principe qui est en contradiction avec le premier qui prône l’intérêt général, du moment que dans cet antagonisme entre nations, se sont les pays industriels importateurs de produits agricoles qui bénéficient de l’échange international.
Si les pays producteurs de biens élaborés, gagnent grâce principalement aux bas prix de biens de subsistances, régulateurs les plus déterminants des profits, les pays agricoles en se spécialisant dans la production du blé par exemple, connaissent les mécanismes et les processus de « désaccumulation » : hausse du prix du blé, augmentation de la rente, diminution du taux de profit dans les pays, ce qui conduit à une situation de dépendance et de crise, pire que celle qui précède l’échange.
Ce processus contraint en plus, les producteurs de matières premières à exporter. car, ils profiteront des prix élevés des pays importateurs pour ventre leurs matières premières…
C’est la domination consolidée dans la dépendance.
Cette théorie avait été développée dans un contexte ou les industriels occupaient une position privilégiée. Ils cherchaient à détruire les barrières douanières pour exporter leurs produits manufacturés, alors que les importations de matières premières (exemple le blé) leur permettaient d’affaiblir la position des propriétaires fonciers, en provoquant la diminution de la rente par la baisse du prix du blé, la diminution des salaires, et enfin accroitre la part de leur revenu industriel dans le revenu national.
Tel est le secret au niveau des rapports de classes qui fondait cet échange et ce développement intégral.
C’est cette théorie qui sera généralisée au XIXe siècle et même au début du XXe siècle, servant de justification pour la Division International de Travail (D.I.T.) qui avait été mise en place par l’Angleterre.
Au cours du XVIIIe siècle, l’idée du libre échange avait envahi toute la littérature économique, fondant la réaction du « laisser-faire, laisser-aller » aux restrictions et aux contraintes inefficaces des mercantilistes.
Ricardo, n’a fait que confirmer cette tendance générale de son époque, en fondant une nouvelle « science économique devenue « idéologie » de la nouvelle classe montante : la bourgeoisie industrielle.
Cette tendance, confirme en même temps la négation des autres Etats-Nations (ceux des colonies), et l’hégémonie de l’Etat-Nation britannique.

2°)- L’hégémonie de l’Etat-Nation britannique au stade du capitalisme concurrentiel

Au cours du XVIIIe siècle, le commerce international avait connu un essor significatif.
En effet, à la suite du pillage de l’Amérique Latine, du trafic des esclaves et surtout avec le développement du commerce triangulaire entre l’Europe, l’Afrique et l’Amérique, les profits qui furent réalisés au cours de cette époque de l’accumulation primitive, avaient contribué incontestablement à la constitution du procès d’accumulation du capital à l’échelle internationale, et en particulier en Angleterre
L’avènement de la Division International de Travail, avec le rôle des exportations des produits manufacturés, favorisant inéluctablement la révolution industrielle, engendrant et opérant des changements importants au niveau des procès de production avec en particulier la consolidation de la plus-value absolue , était avant tout l’œuvre de l’Etat britannique et de ses alliés d’outre-mer.
Dans ce procès de développement du capitalisme, l’Etat a joué un rôle important. En effet, sous l’hégémonie britannique, il est impossible de concevoir un tel développement inégal au niveau des métropoles et au niveau des rapports entre celles-ci et les colonies, sans prendre en considérations le rôle de l’Etat.

-Le rôle de l’Etat :

Il est difficile en effet, de concevoir la transition au capitalisme qui suppose le développement d’un mode de production « sur la ruine de l’ancien mode de production », et en même temps l’expansion territoriale du capitalisme avec toutes les formes de violence qu’elle implique, sans le rôle de l’Etat. Comme l’écrit B. Drugman :
« L’Etat est en effet l’agent essentiel, l’acteur dominant et indispensable assurant la formation et la domination du capital en général », capital comme rapport social, et ce, essentiellement dans la constitution des deux pôles du rapport capitaliste :
A-M/FT
/MP
Et dans leur mise en rapport(…) du rôle de l’Etat dans la libération de la force de travail et son incorporation dans le rapport capitaliste :
L’Etat a joué un rôle fondamental d’abord dans la libération « forcée » de la force de travail(…) et par l’introduction et la généralisation du travail « forcée dans les colonies.
Comme l’avait montré Marx, la force et la violence n’ont jamais cessé d’être les accoucheuses de l’histoire. Elles furent pratiquées et institutionnalisées tout au long de l’histoire du capitalisme par l’Etat au profit de la classe montante : la bourgeoisie.
* Les mercantilistes, pour qui le protectionnisme et l’hégémonie de certaines nations sur les autres qu’ils revendiquaient passaient par la construction de l’Etat et vis-versa.
Avec les mercantilistes, la science économique était devenue à l’époque de l’accumulation primitive, l’idéologie de la domination de certaines nations qu’ils protégeaient contre les autres nations…
Elle était donc la science du « réel », et sa métamorphose en une idéologie de la bourgeoisie montante, tant en étant devenue la politique de l’Etat.
A la suite des mercantilistes qui prônaient l’action et l’intervention de l’Etat, l’accumulation de monnaie, le protectionnisme (mécanismes de la transition au capitalisme industriel) arrivent ensuite :
* Les classiques : ces derniers reprochaient à tort aux mercantilistes d’avoir pensé l’Etat en fonction de leur époque, alors qu’eux même vont changer la manière d’envisager l’état que pour confirmer leur tour la tendance du capitalisme à leur époque, celle de la transition au capitalisme industrielle et de la montée de la bourgeoisie.
Le passage de la pensée mercantiliste à la pensée classique, reflète en réalité la logique des mécanismes de la transformation du capital marchand en capital industriel…
La problématique libérale, n’était pas venue comme critique du mercantilisme (à l’instar de la critique de l’économie politique par Marx), mais elle naquit de la problématique mercantiliste elle-même.
Ricardo, en faisant face aux latifundiaires, défendus par Malthus, et en tentant de critiquer les conceptions mercantilistes, des Etats- Nations, ne faisait qu’édifier la conception pseudo-libérale (celle de développement inégal), celle de l’Etat- Nation hégémonique de l’Angleterre, répondant au mouvement d’expansion du capital entre les mains de la bourgeoisie.
Cela à abouti évidement avec la montée inéluctable de la bourgeoisie industrielle, à la domination du capital industriel anglais à l’échèle mondial et à la négation des Etats des colonies.
Ricardo, comme Smith et comme les mercantilistes, considéraient comme naturelles les sociétés qu’ils avaient devant leurs yeux…
Ricardo, par, exemple, considérait comme naturelle la société qu’il analysait et qui était constituée de trois classes…
Cette vérité constituait le fondement de la critique marxiste de l’économie politique, qui dévoilera derrière les catégories non éternelles du mode de production capitaliste le « secret caché » et le « fondement » de cet « édifice social », de la « forme que revêt l’Etat » à cette époque historique de la transition du capitalisme.
* La négation de l’Etat par les néoclassiques ( en le considérant comme étant à l’intérieur de l’économie tout étant convaincu que l’hégémonie était totale) ne fait que confirmer l’idée de Marx selon laquelle, l’Etat est en formation dans la reproduction du capital…

  3°) – Evolution des termes de l’échange :

Le phénomène de la dégradation des termes de l’échange est apparu dans le contexte international de l’internalisation du marché, à l’époque où dominait l’ancienne forme de la Division Internationale de Travail qui avait été mise en place par l’Angleterre.
Il s’est accentué au XIXe siècle jusqu’en 1914.
Suite à ce processus historique, nous assistions au développement d’une spécialisation croissante des pays industrialisés en exportant les produits manufacturés, et à une spécialisation des pays non industrialisés dans l’exportation des produits primaires.
L’Angleterre, comme nous l’avons expliqué dans la première section, avait joué un rôle important en tant que puissance commerciale et industrielle dés le XVIIIe siècle jusqu’à environ la première guerre impérialiste 1914-1918.
Et puis, quatre autres pays vont accroitre leur part dans les échanges internationaux : la France, l’Allemagne, les U.S.A, et le Japon.
A la fin du XIXe siècle, les cinq pays assuraient 50% des échanges dans le monde.
Dés le début du XXe siècle, la part de l’Angleterre dans les échanges commerça à diminuer ;
Sa part dans le commerce mondial des produits industriels passe de 38,1 (en 1885) à 27,2% (en 1913), celle de la France diminua au aussi : Elle passe de 14,50 à 11,8% pour la même période.
Par contre, les parts de l’Allemagne et des Etats-Unis passèrent respectivement de 17,1% à 21,6% ; et de 4,1%à 9,6%...(…)
Concernant les termes de l’échange, leurs variations traduisent les mouvements relatifs des prix à l’importation et à l’exportation.
Les termes de l’échange nets sont obtenus à partir du rapport d’indice des valeurs moyennes qui s’exprime dans le rapport suivant :

E = 100 X Indice des valeurs moyennes à l’exportation
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Indice des valeurs moyennes à l’importation

Toute baisse du rapport exprime une détérioration des termes de l’échange. C'est-à-dire que la quantité de biens que peut porter la recette d’exportation d’une même quantité de produit est moindre. Ce qui exprime une baisse relative des prix des produits exportés par rapport aux prix des produits importés…
C’est une situation que subissent en règle générale les pays exportateurs de matières premières depuis déjà deux siècle, c'est-à-dire depuis l’existence de la Division Internationale de Travail qui va connaitre des changements au XXe siècle évidement.
Dans le cas contraire qui profite généralement aux pays exportateurs de produits élaborés dans leur échanges avec les pays exportateurs de matières premières, l’accroissement du rapport signifie que les prix des produits exportés (industriels) augmentent plus ou diminuent moins que les prix de produits importés.
Pour le besoin d’évaluation des échanges internationaux des pays dits sous-développés, ce rapport peut être complété avec le rapport exprimant la capacité d’importation :

I =100 X Indice des prix à l’exportation _ Quantités d’exportation
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Indice des prix à l’importation

Il permet d’évaluer la capacité d’achat international, en prenant en considération les prix relatifs à l’importation et à l’exportation du pays et du volume d’exportation
Contentons nous de ces rapports d’évaluation de base, sans entrer dans les détails des différentes conceptions théoriques de termes de l’échange (analyse des termes de l’échange sectoriels qui donnent des précisions sur la quantité réelle des facteurs échangés par l’intermédiaire des biens , les termes de l’échange sous forme de rapports entre valeurs globales etc.…), ou aborder sur un plan plus général, la formule des termes de l’échange de revenu (indice de la valeur des exportations divisé par l’indice des prix des importations), pour évaluer aux différentes périodes l’évolution des termes de l’échange.

II- L’avènement des crises spécifiques à la circulation des capitaux ( marquant transition du capitalisme concurrentiel au capitalisme bancaire)

Sans revenir sur les cycles des crises précités de la fin du 19ème siècle, la période d’après guerre 1914-1918, est marquée par le développement de la puissance industrielle américaine au stade de la formation du capitalisme financier, qui suppose une certaine autonomie de la circulation des capitaux en raison du développement du secteur bancaire. Ce qui suppose aussi le rôle de plus en plus important des marchés boursiers, dont le fonctionnement ( cours des titres) apparent ne reflète pas forcément les valeurs réelles de l’actif des entreprises, en raison de de la spéculation et de la gestion irrationnelle du monde de la finance ; 

Marx analyse le capital marchand comme condition du développement du capitalisme en deux étapes
-La première, où le capital marchand garde encore son autonomie : « le développement prépondérant et autonome signifierait que la production n’est pas soumise au capital » ;
-La deuxième étape. Est celle ou « le capital s’est emparé de la production elle-même, en lui conférant une forme spécifique tout à fait modifiée… » et ou le capital marchand est « doté d’une fonction particulière ».
Marx montre que dans cette phase de la transition au capitalisme industriel, « le capitaliste industriel a toujours présent à l’esprit le marché mondial (…) le commerce devient le serviteur de la production industrielle.»

Sans prendre la forme du capital dans le sens défini par Lénine pour la période impérialiste, l’exportation du capital marchand peut contribuer à la régulation du mode de production pendant la phase de l’internationalisation des marchandises.
Une telle évolution a conduit nécessairement à l’élaboration d’un système monétaire international ( S.M.I. ), qui devait fonctionner sur la base d’une convertibilité générale des monnaies nationales en combinaison avec une monnaie internationale (monnaie de réserve ) appuyée et soutenue par une puissance économique dominante à l’échelle internationale. ce fut le rôle des Etats Unis et de sa monnaie retenue en tant que « monnaie clé » ( le dollar ) dans le cadre du système monétaire de Bretton Woods à partir de la fin de la seconde guerre.
Nous entrons ainsi dans l’ère du capitalisme financier, avec ses nouvelles formes de crises : krach boursier qui est susceptible de se métamorphoser en si peu de temps en crise commerciale et crise industrielle. L’exemple du krach de Wall Street en 1929, suivie immédiatement d’une crise bancaire, avant l’extension de la contagion vers le secteur commercial et industriel, demeurera l’obsession continue et constante des agents économiques en occident, et ce, jusqu’au déclenchement de la crise des « subrimes » aux Etats-Unis en 2008.
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BIBLIOGRAPHIE SOMMAIRE  :

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